International

Insolite ! Il simule des crises cardiaques pour ne pas payer au restaurant

A Alicante, en Espagne, un homme de cinquante ans a été appréhendé par les forces de l’ordre, pour avoir simulé des crises cardiaques dans plus de vingt établissements pour ne pas régler ses notes.

Tous les jours pour le voleur et un jour pour le propriétaire dit-on. Un Lituanien prenait un malin plaisir simulé des crises cardiaques pour ne pas payer l’addition lors de ses vacances. Mais le pot aux roses a été découvert.

En effet, les vacances sont souvent synonymes de nombreuses dépenses, notamment en ce qui concerne la dégustation des plats locaux qui font partie de la culture d’un pays que l’on visite. Le sieur Aidas J., un Lituanien qui a choisi pour destination Alicante, en Espagne, a trouvé un stratagème surprenant pour éviter de payer l’addition de ses repas au restaurant. Selon le média espagnol El Diario, ce dernier agit ainsi pour ne pas se ruiner en dîners et profiter de son argent lors de ses vacances.

Son mode opératoire est de se faire passer pour un touriste russe qui ne parle pas espagnol et qui tombe au sol en se tenant la poitrine au moment de payer. Le vacancier demande l’assistance médicale aux employés tout en simulant son décès. La goutte d’eau qui a fait déborder le vase est sa énième représentation qui n’a pas convaincu les employés et le gérant du restaurant de tapas « El buen comer ». Ces derniers ont sur le coup alerté les restaurateurs de la ville.

Aidas J. avait récidivé sa technique de simulation d’arrêt cardiaque dans plus de vingt restaurants et avait été arrêté plusieurs fois. S’il refusait de payer les amendes, son dernier coup au restaurant « El buen comer » a été celui de trop. Après avoir été arrêté par les autorités, il a fait 42 jours de prison et risque désormais jusqu’à deux ans d’emprisonnement. Le Lituanien devrait rembourser la somme de tout ce qu’il a commandé dans plus de vingt restaurants, pour une somme totale de 800 euros.

Mariette DOMINGO

Articles similaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Bouton retour en haut de la page