Après un parcours sans faute, qu’il lui faudra consolider le 11 décembre face à Galatasaray, le Paris Saint-Germain est assuré de terminer en tête de sa poule en Ligue des champions. Une position qui permet d’avoir déjà une vue sur les potentielles formations qu’il pourrait rencontrer en huitièmes de finale.
A moins de trois semaines du tirage au sort des affiches des huitièmes de finale de la Ligue des champions, le PSG, certain de finir à en tête du groupe A, peut déjà commencer à se faire une idée de l’équipe qu’il aura en vis-à-vis lors de cette phase de la compétition.
Selon les règles, deux équipes issues du même groupe de qualifications ne peuvent pas tomber l’une contre l’autre. Et deux équipes d’un même pays ne peuvent pas non plus s’affronter. Ainsi, le PSG affrontera un deuxième de groupe qui ne pourra pas être le Real parce qu’ayant partagé la même poule. Ce ne pourra pas non plus être l’OL, au cas ce dernier se qualifierait.
Egalement, Paris ne pourra pas avoir en face de lui à ce stade de la compétition, le Barça, le Bayern, Manchester City et la Juve qui ont chacun fait le nécessaire pour être classé en tête de leur groupe respectif.
Ceux que le PSG pourrait affronter
En dépit de ce qu’il reste encore beaucoup de tickets à distribuer pour les huitièmes de finale, Tottenham est certain de finir deuxième du groupe B derrière le Bayern, et pourrait donc tomber sur le PSG. Quoique, les jeux restent encore bien ouverts dans la poule C où le Chakhtior, le Dinamo Zagreb et l’Atalanta ont encore des chances d’arracher la deuxième place au détriment de Tottenham.
Dans le groupe D, l’Atlético est à la lutte avec le Bayer Leverkusen, tandis que l’Inter et Dortmund se battent pour une qualification dans la poule F. Les trois groupes restants sont les plus incertains: Liverpool, Naples et Salzbourg sont encore en lice pour les deux premières places dans la poule E ; même topo pour l’Ajax, Chelsea et Valence dans le groupe H. Et dans la poule G, Leipzig est qualifié mais ne sait pas s’il finira premier ou deuxième… quand l’OL, Benfica et le Zénith peuvent encore y croire.
Franck-Marie AGOSSOU